UN PEU  DE LUMIERE

El Tarf chef lieu de wilaya comme El Kala qu’on vante à tort ou à raison sa vocation touristique, ou les agglomérations à forte concentration urbaine formant les plaines de  l’ouest de la wilaya ont besoin en cette période d’un renforcement de l’éclairage public qui fait défaut au niveau de plusieurs quartiers populeux. En outre l’on enregistre la présence de meutes de chiens errant mettant en danger la vie des citoyens. L’absence quasi-totale d’un contrôle a engendré dans le sans le plus large du terme « le diktat » de ces canines à la recherche de ripaille. Pour  mettre un terme à une telle situation les services concernés doivent retrousser les manches et redoubler de vigilance. Par ailleurs, des agents spécialisés doivent être instruits pour placer les ampoules manquantes pour solutionner le problème d’éclairage public. Cette défaillance encourage les cambrioleurs qui opèrent généralement la nuit en dévalisant sans être inquiéter les appartements de personnes en voyage.  Une toute petite pérégrination dans ces quartiers urbains éclaire vos lanternes sans fournir énormément d’efforts. La majorité écrasante des ruelles dans les agglomérations de Dréan, Bouhadjar, Ben Mhidi etc…  sont plongés dans l’obscurité totale. Les voies d’accès se caractérisent par des crevasses. Ce constat amer est un véritable danger pour les passants qui souvent se heurtent par inadvertance sur un trou béant aux conséquences incontournables. Il faut une conjugaison d’efforts de toutes les parties pour sécuriser les paisibles citoyens occupants ces lieux.  Il serait plus prudent de songer d’ores et déjà à un moyen efficace pour protéger les ouvertures de raccordement soit en les cadenassant soit en les plaçant en hauteur en attendant d’installer les réverbères manquants à l’image de ceux de plusieurs agglomérations où les responsables locaux sont conscients des dangers qu’ils présentent. Certains fils électriques sont à  la portée de main d’un jeune écolier de quelques pouces. Un citoyen dans la commune d’El-Tarf a trouvé la mort l’année passée en plongeant dans une marre d’eau en plein centre ville. Il a fallu l’intervention de  citoyens pour que le corps soit repêché inerte. D’autres part, dans la majorité écrasante des quartiers des chef-lieux communaux, l’on constate sans grand effort que les poteaux électriques sont tout simplement démunis de système de protection, les câbles pendant qui s’enchevêtrent comme un véritable labyrinthe sont à l’origine d’accidents souvent mortels. Il serait plus prudent de songer d’ores et déjà à un moyen efficace pour protéger les ouvertures de raccordement soit en les cadenassant soit en les plaçant en hauteur en attendant d’installer les réverbères manquants à l’image de ceux de plusieurs agglomérations où les responsables locaux sont conscients des dangers qu’ils présentent.   Certains fils électriques sont à  la portée de main d’un jeune écolier de quelques pouces. Il est vrai à dire qu’il présente un risque permanent pour nos jeunes enfants qui n’ont pas où allez pour se défouler après une journée d’école marathonienne. Les rues sont leurs seuls lieux de prédilection en l’absence d’air de jeux. Il suffit de faire un court séjour du coté du nouveau lotissement de Zerad Hocine à Bouteldja pour se rendre compte de la précarité d’une situation qui a trop duré.                                                                    

Tag(s) : #REGIONS
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